L'absence d'un transport exclusivement réservé aux élèves de la capitale gabonaise, comme cela se faisait il y a quelque temps, constitue une véritable "épine dans le pied" de nombreux parents d'élèves qui éprouvent toutes les peines du monde à financer le transport de leur progéniture chaque jour de classes.
Nombreux sont ces parents qui déboursent entre 5 000 et 10 000 FCFA par jour, voir plus, uniquement pour assurer le transport de leurs enfants de la maison à leur établissement et vice versa.
Compte tenu de l’importance des sommes déboursées quotidiennement par les parents dont plusieurs sont issus des couches défavorisées ...
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L’accès à Internet est devenu un casse-tête pour les élèves et les nombreux utilisateurs de Franceville, Moanda et du reste de la province du Haut-Ogooué (sud-est) depuis bientôt six mois, a constaté le correspondant de l’AGP.
La fermeture, en novembre 2009, de l’institut de formation aux nouvelles technologies (Ifatech) en est la principale raison, pense-t-on.
Cet institut qui administrait des cours d’informatique, de réseau et bien d’autres sur les nouvelles technologies abritait en son sein le plus important cyber café de la province du Haut-Ogooué.
Son débit de connexion qui était de 100 Mbits/s n’avait d’égal et permettait à la plupart des ...
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L’interdiction, décidée le 5 novembre 2009, d’exporter les grumes pour favoriser la transformation locale est entrée en vigueur dès janvier. La filière, mal préparée, est paralysée. Les autorités lâchent un peu de lest.
Pour certains, il s’agit d’une reculade. Le 11 février dernier, le gouvernement a décidé d’octroyer un délai de trois mois aux exploitants forestiers pour évacuer le bois en grumes stocké depuis le 31 décembre dans les parcs à bois disséminés à travers le pays et en particulier au port d’Owendo, au sud-ouest de Libreville. Ali Bongo Ondimba a même proposé d’indemniser les exploitants forestiers qui ont subi un ...
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Le géant européen du contreplaqué, Plysorol, se précipite dans l’impasse sur ses trois sites de production en France, où certains employés menacent de bloquer les usines pour réclamer la transparence sur les comptes de l’entreprise et les intentions réelles du repreneur chinois. De nombreux employés sur les sites français estiment que le nouveau PDG, monsieur Wu, compte sacrifier les usines françaises pour récupérer les stocks de bois de la filiale gabonaise.
Le repreneur chinois de Plysorol manigance-t-il le dépôt de bilan des usines françaises pour s’emparer des stocks de bois de la filiale gabonaise ? C’est la question qui ...
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La société espagnole Riogersa adjudicataire du marché d’hydraulique villageoise, va construire d’ici juin 2010 des unités rurales de traitement d’eau potable dans certains villages du Gabon pour un montant global de 1,32 milliard de francs CFA, rapport-t-on de source officielle. Le directeur Afrique de cette multinationale basée à Madrid, en Espagne, Rafael Torres Messas, a remis récemment au ministre gabonais en charge de l’Energie et des Ressources hydrauliques, Régis Immongault, un dossier sur ce projet après qu’une convention ait été signée en août 2009.
Ce sont 14 unités de traitement d’eau potable qui verront le jour dans les provinces de l’Estuaire, ...
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L'Etat gabonais et le groupe allemand HELM Dungemitel Gmbh ont signé ce lundi à Libreville un protocole d'accords pour le lancement des études devant mener à la construction d'un complexe pétrochimique au Gabon, plus précisément à Port-Gentil, capitale économique (ouest). Le protocole d'accords a été signé par le ministre gabonais de l'Energie, du Pétrole et des Mines, Casimir Oyé Mba et le directeur du groupe allemand, Olivier Mehl.
Ce protocole d'accords, d'une durée de dix huit (18) mois, à compter de la date de signature, porte sur l'évaluation conjointe de la faisabilité de construction d'un complexe pétrochimique destiné à la production ...
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Organiser une course cycliste comme la 4e Tropicale Amissa Bongo au Gabon nécessite une débauche de moyens et une forte volonté politique pour faire face aux carences en infrastructures d'un pays en voie de développement et au climat équatorial.
Une caravane de 350 personnes, dont 180 travaillant uniquement à l'organisation de la course rassemblant 14 équipes de 6 coureurs, 70 véhicules légers, 6 camions militaires, 3 semi-remorques, 15 motos et un hélicoptère...
"La grande difficulté, c'est qu'il n'y a pas de route réelle entre l'Estuaire (Libreville) et le Haut-Ogooué (sud-est)", et le Woleu-Ntem, les trois régions où se dispute l'Amissa cette année, ...
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Le transport scolaire a été un véritable casse-tête pour les milliers d’élèves des lycées et collèges de la capitale gabonaise qui ont repris ce lundi, le chemin des classes.
De nombreux élèves des lycées et collèges ont eu toutes les peines du monde pour rallier leurs établissements respectifs ce lundi, premier jour du démarrage des cours dans le primaire et secondaire.
Le partenaire officiel, la Société gabonaise de transport (SOGATRA) qui s’occupait du transport des élèves, n’accepte plus les élèves qu’à titre de passager comme tout autre citoyen, dénonçant le comportement barbare de certains de ces enfants qui passaient le clair du ...
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Laure Olga Gondjout, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération , de la Francophonie et de l’Intégration régionale, qui prend part, en lieu et place du président de la République , Omar Bongo Ondimba, empêché, à la Xè Session ordinaire des Leaders et Chefs d’Etat de la Communauté des Etats sahelo-sahariens (CEN-SAD), auquel le Gabon participe en tant que pays observateur, a eu mercredi matin, en marge dudit sommet, un tête à tête avec Abdoulaye Bio Tchane, successeur du président Thomas Yayi boni à la tête de la Banque Ouest Africaine de développement (BOAD), au cours duquel ils ont échangé ...
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La date: mai 2002. Le Lieu: New York. Omar Bongo vient d'arriver à New York pour une conférence de l'ONU sur les enfants. Les enfants' Oui, car Omar Bongo, dans son pays, a "toujours dit" que pour lui la jeunesse était sacrée. Cependant, à l'ONU, personne ne respecte Omar Bongo car on sait que son pays est honteusement pauvre malgré la multitude de richesses dont il regorge. On sait également qu'au pays d'Omar Bongo, l'esclavage des enfants bat son plein et que le régime Bongo, qui exploite directement les enfants dans des réseaux de corruption et de commerce, ferme allègrement ...
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