Le terme de « Françafrique » est né d'une boutade, celle de la « France-à-fric », symbole des financements occultes qui ont « fluidifié » les rouages franco-africains depuis plus de cinq décennies.
Mais l'expression est devenue quasiment officielle, couvrant l'ensemble des relations, politiques autant qu'économiques, publiques comme parallèles, de l'Hexagone avec ces anciennes colonies du sud de Sahara. Elle est incarnée par un ensemble hétéroclite de chef d'Etats, de conseillers occultes, d'émissaires officieux, de gourous et d'hommes d'affaires intéressés par la préservation de certaines habitudes et rentes de situation en Afrique francophone.
En coulisses, on fait des affaires tout en faisant ...
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La "photo de famille" ne ressemble pas à celle des précédentes grand-messes franco-africaines; pour clore son premier sommet du genre, devant la presse, mardi 1er juin à Nice, Nicolas Sarkozy a choisi de s'entourer de trois chefs d'Etat dont un seul, le Camerounais Paul Biya, est francophone, rapporte le Monde .fr.
Le message était clair: le président français, en s'affichant aux côtés de Jacob Zuma, président de l'Afrique du Sud, locomotive du continent, de Meles Zenawi, premier ministre d'Ethiopie (10 % de croissance par an) et de Bingu wa Mutharika, chef du petit Malawi mais surtout président de l'Union africaine, a ...
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Gabon - Mercredi 24 février, Nicolas Sarkozy s'est rendu au Gabon où il a visité une usine du groupe forestier français Rougier. Pour l'association écologiste Greenpeace, en effectuant cette visite, le président a agi comme un représentant de commerce "de l'exploitation des forêts tropicales".
"Cette visite trahit la vision qu’a Nicolas Sarkozy des forêts tropicales et la manière dont il entend les protéger, affichant le soutien unilatéral de la France aux industriels du bois. Le président français semble encore considérer les forêts comme une simple matière première" a déploré Grégoire Lejonc, chargé de campagne forêts pour Greenpeace France.
En novembre dernier, le ...
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Libreville Envoyé spécial.
Rien ne manquait, mercredi 24 février, à l'accueil réservé par le président Ali Bongo à Nicolas Sarkozy. Ni les bordures de trottoir repeintes de frais, ni les portraits des deux chefs d'Etat barrés du mot "amitié", ni les distributions de tee-shirts et de drapeaux aux femmes disposées sur le parcours. Ni, surtout, aux murs de la salle où furent prononcés les discours, les photos sépia géantes représentant les présidents Bongo, père et fils, aux côtés de tous leurs homologues de la Ve République. Nulle part ailleurs en Afrique un président français n'aurait pu se sentir à ce point ...
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Depuis son élection, Nicolas Sarkozy s'est déjà rendu deux fois au Gabon. Mercredi, le président effectuera sa troisième visite dans le pays. Une rencontre présentée comme amicale qui masque, pour la France, de hautes ambitions stratégiques et militaires dans le pays. C'est au Gabon que la France conservera son unique base militaire sur la façade atlantique du continent africain.
Encore une visite chez Bongo. Sarkozy n’envisage pas un voyage en Afrique sans un petit détour par le Gabon. Depuis son élection, c’est déjà la troisième fois que le président français se rend à Libreville.
Comme le rappelle La Lettre du ...
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Le chef de l’Etat Gabonais, Ali Bongo Ondimba est à Franceville (capitale provinciale du Haut – Ogooué, sud – est) depuis ce mardi, en début d’après – midi, où il va accueillir, mercredi en matinée, son homologue Français, Nicolas Sarkozy, en mini tournée africaine.
Le Gabon par Franceville et Libreville, sa capitale, vont constituer la première étape de la tournée africaine de Nicolas Sarkozy qui va ensuite se rendre à Kigali, au Rwanda.
La visite de 48 heures du chef de l’Etat français au Gabon sera marquée de symboles du point de vue des relations qu’entretiennent Paris et Libreville. Car de ...
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Le président français, Nicolas Sarkozy arrive mercredi à Franceville (650 km au sud-est de Libreville), pour une visite d’amitié et de travail de 24 heures.
Selon des sources autorisées, le président français sera reçu par son homologue gabonais Ali Bongo Ondimba qui devrait quitter Libreville ce mardi pour le chef-lieu de la province du Haut-Ogooué.
Le numéro un français, au cours de son séjour à Franceville visitera le Centre internationale de recherches médicales de Franceville (CIRMF).
Ce centre dont la renommée scientifique dépasse largement les frontières nationales est en partie financé par la société TOTAL GABON, filiale du groupe pétrolier français TOTAL.
Selon les ...
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Depuis son élection, Nicolas Sarkozy s'est déjà rendu deux fois au Gabon. Mercredi, le président effectuera sa troisième visite dans le pays. Une rencontre présentée comme amicale qui masque, pour la France, de hautes ambitions stratégiques et militaires dans le pays. C'est au Gabon que la France conservera son unique base militaire sur la façade atlantique du continent africain.
Encore une visite chez Bongo. Sarkozy n’envisage pas un voyage en Afrique sans un petit détour par le Gabon. Depuis son élection, c’est déjà la troisième fois que le président français se rend à Libreville.
Comme le rappelle La Lettre du Continent, ...
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Le président français Nicolas Sarkozy se rendra au Gabon le 24 février prochain, a indiqué l'Elysée aujourd'hui , pour une visite qui sera un adoubement après le coup d'Etat électoral de Monsieur Ali Bongo Ondimba lors du scrutin du 30 septembre dernier.
e président français Nicolas Sarkozy se rendra au Gabon le 24 février prochain, a indiqué l'Elysée aujourd'hui , pour une visite officielle, après le coup d'Etat électoral de Monsieur Ali Bongo Ondimba lors du scrutin du 30 septembre dernier.
Ce coup d'Etat qui avait mis le Gabon à feu et à sang, sans que, ni la France, ni l'Union Eurpéenne, ...
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"L'armée française n'est pas là pour soutenir des régimes" en Afrique, a affirmé mercredi le président français Nicolas Sarkozy, qui s'est en revanche engagé à soutenir "les régimes démocratiques".
Nicolas Sarkozy, qui s'exprimait à l'occasion de la 16e conférence des ambassadeurs, a renouvelé son engagement à réviser de manière systématique les accords de défense qui lient la France et les Etats africains. "J'ajoute que tous ces accords, je souhaite qu'ils soient publiés", a-t-il dit.
"Nous voulons soutenir les régimes démocratiques", a cependant ajouté le chef de l'Etat français, citant en exemple l'action française en Mauritanie.
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