Dejeuner de travail entre le président français et des chefs d’Etat africains mardi à l’Elysée
Le président français Nicolas Sarkozy aura “un déjeuner de travail” mardi à l’Elysée avec des chefs d’Etat africains invités d’honneur du 14 juillet, fête nationale de la France.
Le contenu des échanges n’a pas été révélé, mais des informations concordantes indiquent que les questions liées à la coopération seront au menu des discussions entre Nicolas Sarkozy et ses hôtes qui, tous, étaient déjà à Nice lors du 25e Sommet France-Afrique.
Quoi qu’il en soit, la rencontre de mardi, qualifiée de mini-sommet “familial” par l’ancien ministre Jacques Toubon, entre en droite ligne des manifestations marquant le Cinquantenaire des indépendances de quatorze anciennes colonies françaises.
Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de la République centrafricaine, du Congo-Brazzaville, du Gabon, de Madagascar, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Sénégal, du Tchad et du Togo.
Officiellement, seul Laurent Gbagbo, le président ivoirien, a décliné l’invitation de son homologue français. On ne verra pas non plus les Forces armées nationales de Côte d’Ivoire (FANCI) mercredi sur les Champs-Elysées, où les troupes des différents pays concernés participeront au traditionnel défilé militaire du 14 juillet.
Lors d’un colloque organisé la semaine dernière à Paris par l’ONG Convergences pour la paix et le développement en Afrique (CPDA), l’ambassadeur de Côte d’Ivoire en France, Pierre Aimé Kipré, a confirmé cette information, expliquant que les FANCI ont des défis plus importants à relever dans le pays.
Il a également mis en avant les relations houleuses entre Paris et Abidjan, situant le début des “contentieux” au début de la rébellion déclenchée en Côte d’Ivoire en septembre 2002.
La France dit avoir associé les armées africaines à la fête du 14 juillet pour célébrer « le lien né de la contribution des troupes africaines à la défense et à la libération de la France ».
Plusieurs associations ont prévu des manifestations mardi pour protester contre ce que l’ONG Survie considère comme “un soutien de la France aux dictateurs qui vivent impunément des rapports néocoloniaux au détriment du développement de leurs pays et du bien-être des population”.
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A quelques heures l’arrivée, au Gabon du chef de l’Etat Français, Nicolas Sarkozy, pour une visite de travail, les 24 et 25 février 2010, l’Agence de presse en ligne GABONEWS publie, in extenso, le programme intégral de ce séjour du n°1 français en terre gabonaise.
Franceville
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08h00 (heure locale)
Atterrissage de l’Airbus
présidentiel à l’Aéroport de Mvengué – Franceville.
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- ...
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Une enquête judicaire pourrait être ouverte à Paris concernant des biens acquis en France par le Gabonais Omar Bongo, le Congolais Denis Sassou Nguesso et l'Equato-Guinéen Théodoro Obiang Nguema.
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