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Manifestation des Gabonais des Etats-Unis à Washington le 22 août 2011 contre l’achat de la propriété des Kennedy par le dictateur Ali Bongo

Auteur/Source: · Date: 31 Juil 2011
Catégorie(s): Activités,Communiqués,Communiqués BDP,Diaspora,Politique


Communiqué de Presse – Plateforme Citoyenne – le 31 juillet 2011

Ayant été choquée par l’information divulguée le 21 juillet 2011 par le Washington Post selon laquelle le dictateur gabonais Ali Bongo Ondimba avait, une fois de plus, dilapidé l’argent du Gabon dans l’achat, à hauteur de 6,5 millions de dollars, de la villa huppée du défunt Ted Kennedy sise au 2416 Tracy Place NW à Washington, DC, la Plateforme Citoyenne, une organisation de Gabonais activistes, appelle la communauté gabonaise et les amis du Gabon résidant dans ce pays à un sit-in de protestation le lundi 22 août prochain à 10h00 du matin devant ladite propriété.

La communauté gabonaise des Etats-Unis est surprise de constater que le dictateur gabonais ait choisi d’aller gaspiller 6,5 millions de dollars de l’argent du contribuable dans une propriété dont le Gabon n’avait aucunement besoin, et ceci dans un pays reconnu riche en pétrole et autres matières premières dans lequel, paradoxalement, un enfant sur dix ne voit pas son premier anniversaire et la population est acculée, comme l’a montré un récent documentaire de ABC News, à une pauvreté qui la force à fouiller les poubelles à la recherche de nourriture. La Plateforme Citoyenne constate que ces 6,5 millions de dollars, qui représentent l’énorme somme de 3 milliards de francs CFA en monnaie locale, auraient pu être investis dans les hôpitaux gabonais aux fins d’épargner la vie des milliers de bébés qui meurent inutilement chaque année de malnutrition et de maladies infectieuses pourtant soignables, faute de médicaments et d’infrastructures hospitalières adéquates.

La série d’abus financiers et humains que les Gabonais subissent depuis 44 ans sous la dictature des Bongo doit, plus que jamais, prendre fin. Les Bongo possèdent déjà à travers le monde des propriétés dont la valeur s’élève à près d’un milliard de dollars, soit près de 500 milliards de francs CFA, y compris l’hôtel particulier de 120 millions de dollars (55 milliards de francs CFA) acquis par Ali Bongo à Paris en 2010, et ceci moins d’un an après son arrivée frauduleuse au pouvoir. La malhonnêteté des Bongo est telle qu’ils ont souvent, comme ils viennent de le faire avec l’achat de la villa de Ted Kennedy à Washington, joué de subterfuge en présentant ces acquisitions de propriétés comme des acquisitions gouvernementales. Les Gabonais ne savent que trop bien, hélas, que ces propriétés sont acquises frauduleusement au nom de l’état pour devenir, par la suite, des possessions personnelles de la famille Bongo et leurs complices.

Mais il y a pire. Les Bongo ont souvent cyniquement fait louer à l’état gabonais ces mêmes propriétés supposées acquises au nom de l’état, faisant ainsi de l’état gabonais le locataire des Bongo. A Paris par exemple, l’immeuble abritant actuellement l’ambassade du Gabon est une propriété personnelle des Bongo que la famille fait louer à l’état gabonais ; pourtant, cette propriété fut achetée au nom de l’état. Au Gabon même, les bureaux de la Cour constitutionnelle, qui est l’équivalent gabonais de la Cour suprême aux Etats-Unis, sont actuellement abrités dans un immeuble appartenant à Madeleine Mborantsuo, l’actuelle Présidente de… ladite Cour constitutionnelle, nommée à ce poste par le défunt dictateur Omar Bongo Ondimba, dont Madame Mborantsuo fut la maîtresse. Pour bien comprendre cet imbroglio de vices et d’immoralités, il suffit d’imaginer Barack Obama nommant comme présidente de la Cour suprême des Etats-Unis une maîtresse avec qui il a eu deux enfants bâtards, puis, pour la récompenser, lui offrirait un immeuble de plusieurs étages que la maîtresse, par la suite, ferait louer à l’état pour abriter les locaux de la Cour suprême des Etats-Unis, et ceci alors qu’elle-même siège encore à la dite Cour comme présidente. Cette situation d’arbitraire, de vice et d’immoralité persiste au Gabon jusqu’à aujourd’hui.

La boulimie des Bongo pour la grandiloquence et les outrageuses acquisitions de propriétés personnelles aux frais du contribuable est telle que le dictateur actuel, alors qu’il n’était encore que ministre de la défense, n’avait pas hésité à offrir 25 millions de dollars (près de 12 milliards de francs CFA) à son ancienne épouse Inge Bongo pour l’achat d’une villa à Malibu, quartier huppé de Los Angeles aux Etats-Unis. Vu qu’Ali Bongo ne représentait alors qu’un Bongo parmi tous les bâtards laissés par Omar Bongo, qui aurait eu près de 70 enfants et plus d’une centaine de maîtresses au Gabon comme à l’étranger, c’est à une vraie mise à sac des finances publiques que les Bongo se sont livrés pendant 44 ans. Et cela n’est pas prêt de s’arrêter sous Ali Bongo, qui, en moins de deux ans, a amplifié le boulimie immobilière des Bongo avec, au minimum, ces deux grosses acquisitions (l’hôtel particulier de Paris et la villa de Ted Kennedy) de près de 60 milliards de francs CFA. Pas étonnant, donc, que les Gabonais soient obligés de fouiller les poubelles pour manger.

Le peuple gabonais est tout simplement fatigué de subir l’extrême pauvreté dans un pays supposé être l’un des plus riches en Afrique, surtout quand, dans le même temps, le clan Bongo au pouvoir ne cesse paradoxalement de dilapider l’argent du Gabon dans des achats extravagants dont le pays n’a aucun besoin. Les Gabonais sont non seulement fatigués de cette dictature kleptocrate qui les confine à la misère abjecte depuis 44 ans, ils se refusent également à vivre 70 ans sous le joug d’une seule et même famille, chose qui risque d’arriver si Ali Bongo demeure 28 ans au pouvoir dans le cadre d’une présidence à vie à la manière de son père Omar Bongo. Si l’on considère la modification de la Constitution entreprise par le dictateur en décembre 2010 pour se donner les pleins pouvoirs et la capacité de légiférer par décret au détriment du parlement et de la Cour constitutionnelle, force est de conclure que le Gabon s’est définitivement enlisé dans une confiscation sans merci du pouvoir par la famille Bongo. Les médias, l’armée, les cours de justice, le parlement et les finances publiques sont plus que jamais sous le contrôle direct et personnel d’Ali Bongo et le pays mis au pas d’une dictature qui ne laisse aucune marge d’humanité aux Gabonais. Cette situation est intolérable et ne peut plus continuer. Les Gabonais ne sont plus prêts à en accepter la perpétuation.

La Plateforme Citoyenne considère chaque centime détourné par les Bongo depuis 44 ans comme un acte criminel par lequel le régime, au travers de la misère qu’il cultive au sein de la population, cause intentionnellement la mort de milliers d’enfants gabonais qui autrement auraient survécu si le clan Bongo n’avait impitoyablement pillé la nation et mis à sac les finances publiques.

Face à cette énième agression des Bongo contre la nation, la Plateforme Citoyenne appelle tous les Gabonais et amis du Gabon qui ne veulent plus de ce pillage national à nous rejoindre à 10h00 du matin devant la villa de Ted Kennedy sise au 2416 Tracy Place NW à Washington, DC, aux fins d’envoyer un message fort aux Bongo que les Gabonais ne sont plus prêts à subir ce type d’agressions, et que, plus que jamais, ils pensent que les Bongo doivent partir pour permettre la construction d’un Gabon nouveau

Contact:
Mlle Flore Essiane
Coordonnatrice intérimaire, Plateforme Citoyenne
Cell: 301-524-6950


VERSION ANGLAISE

Gabonese Community in the United States to Protest Dictator Ali Bongo’s Purchase of Kennedy Estate in Washington, DC on August 22, 2011

Press Release – Civic Platform – July 31, 2011

The Gabonese Community in the United States was stunned to learn, in a July 21, 2011 article by the Washington Post, that dictator Ali Bongo had, once again, dilapidated Gabon’s money, this time towards the purchase of Ted Kennedy’s $6.5 million Kalorama Heights estate in Washington, D.C. As a result, the “Plateforme Citoyenne” (Civic Platform), an organization of Gabonese and Gabonese-Americans residing in the United States is to hold a protest in front of Ted Kennedy’s Kalorama Heights mansion located at 2416 Tracy Place NW, Washington, DC. The protest is scheduled for Monday, August 22, 2011, beginning at 10:00am.

The Gabonese community in the United States is surprised that in an oil-rich country in which one child out of 10 does not live to see his first birthday, and in which, as the ABC News document has recently shown, the population is paradoxically forced to scavenge for food out of garbage dumps, dictator Ali Bongo Ondimba should go and buy a useless $6.5 million mansion that Gabon does not need. The Plateforme Citoyenne considers that the $6.5 million, which in Gabon’s currency represents a whopping 3 billion CFA francs, could have been put to better use in Gabon’s hospitals where every year thousands of babies die of malaria and other infectious diseases that could be easily cured and prevented.

The string of financial and human rights abuses which the Gabonese people have been undergoing under the 44-year-old dictatorship of the Bongo family must be stopped. The Bongo family already possesses close to a billion dollars of properties around the world, including a recent $120 million townhouse acquired by Ali Bongo in Paris in 2010. Just as he did with the Ted Kennedy Mansion, the dictator disguised the Paris acquisition as a government purchase when everybody in Gabon knew that, in reality, these properties were acquired as the personal possessions of the Bongo family. It has been a common practice of the Bongos to use the government of Gabon as the storefront in acquisitions that are, in fact, personal to the family and their cronies. Worse still, this family has often cynically made the government of Gabon rent such supposedly “state properties” from the Bongo family itself. In Paris for instance, the current embassy building is a personal property of the Bongo family being rented by the government of Gabon to house its embassy. Yet, it was purchased with Gabon’s money.

In Gabon itself, the Constitutional Court (Gabon’s Supreme Court) is currently renting its offices from Madeleine Mborantsuo, who is not only the current President of the said Constitutional Court, but also a mistress of deceased president Omar Bongo, father of the current despot. To understand this better, it would be as if President Obama appointed as Chief Justice of the United States’ Supreme Court a mistress with whom he has two children, offered this mistress a building as a gift, and then this girlfriend rented this building out to the government of the United States to house the Supreme Court of the United States while she herself still served as Chief Justice of the said Supreme Court

The Bongo family’s bulimic taste for grandiloquence and outrageous buying is such that the current president, while serving as Defense Minister under his father, sought to buy a $25 million mansion in Malibu for his now former wife Inge Bongo.

The Gabonese people are simply tired of living in extreme poverty in a country that is one of the richest in Africa, especially when its despotic ruling clan is bent on dilapidating Gabon’s money in extravagant purchases that the country does not need. The Gabonese people are tired of their 44-year-old dictatorship, and refuse to live under the dictate of the same family for 70 years, which risks happening if Ali Bongo is allowed to rule the country for life the way his father did. The potential for this happening is now greater than ever after the despot amended the Constitution in December 2010 to give himself military powers and the ability to overrule both the parliament and the Constitutional Court by decree. The media, the army, the treasury, the parliament and the courts are now firmly under the firm and personal control of Ali Bongo.  This is intolerable and cannot be allowed to continue.  We will not let that happen.

Because we consider every penny misappropriated by the Bongo family in the 44-year-old reign of their regime as a criminal act that leads to the death by deprivation of Gabonese children who would otherwise live if the Bongo clan had not ransacked and pillaged Gabon’s treasury, please join us on August, 22 2011 at 10:00am in front of Ted Kennedy’s Kalorama Heights mansion located at 2416 Tracy Place NW, Washington, DC to protest this umpteenth aggression of the Bongo family against the citizens of Gabon.

Contact: Ms. Flore Essiane, Interim Coordinator, Plateforme Citoyenne,
Cell: 301-524-6950 


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