Education : « A chaque année, son style »
‘A chaque année, un style nouveau’ (parfois un-peu malheureux), car le constat que nous faisons est symptomatique de ce qui se passe à Libreville (capitale gabonaise). Les jeunes sont les principaux concernés. Car aujourd’hui, ce style s’attaque à nos jeunes en milieu scolaire, des endroits considérés comme des temples du savoir et des lieux de formation de l’élite gabonaise en devenir. Ces élèves, portant les couleurs des établissements de renom, nous laissent ici l’impression que la rigueur qui régnait autrefois dans ces endroits n’est plus. Il y a quelques années encore de la chevelure, la barbe, la chemise ou le tee-shirt en passant par la ceinture, le pantalon ou la jupe, les baskets au pieds, tout était minutieusement vérifié à l’entrée des établissements par des surveillants intraitables et même souvent par les responsables de ces établissements pour éviter que les jeunes n’aient la possibilité de ‘tricher avec le règlement’.
Et qu’ils ne puissent nuire à la réputation et à l’image de l’établissement mais surtout qu’ils apprennent à se conformer aux règles quand elles existent.
Aujourd’hui, les jeunes font tout et n’importe quoi au point de narguer les dirigeants des établissements scolaires de la capitale en allant dans ces lieux du savoir avec des cheveux défrisés ou la barbe plein le menton, le pantalon en-dessous des fesses.
Les filles, elles, ont des coiffures afros des années 60, des rastas dépassant les épaules et mêmes des tissages. Le tout renvoyant des images qui laissent à désirer. Les jupes ne dépassant pas les genoux et la cerise sur le gâteau est la mode de l’année : les jupes dessus le ventre.
Que la mode ou le style s’empare de nos rues est une chose mais qu’ils se retrouvent dans nos établissements, c’est assez déconcertant.
Il serait, peut-être bon, que les chefs d’établissements et les responsables du ministère de l’Education nationale prennent très rapidement des mesures visant à éradiquer définitivement ce genre de comportements pouvant nuire au système éducatif de notre pays qui ne brille, déjà pas assez, par ces résultats.
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