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Case à Palabres du BDP-Gabon Nouveau
BDP
Membre doyen
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26-mai-99, 18h53 (Heure de: New Jersey) |
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1. "Le site du BDP n'est pas un relai"
En réponse au message #0
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Cher Monsieur,Au risque de vous décevoir, nous tenons à vous rappeler que le site du BDP n'est pas un relai pour d'autres sites. Vous avez posté un lien chez nous qui menait vers un message que vous avez posté sur un autre forum. Cela relève d'un manque de respect de la propriété d'autrui et nous ne saurions le permettre. Si vous aviez tant soit peu un minimum de respect pour nous et pour ceux qui lisent ce forum, vous auriez évité cela. Ce que vous appelez censure relève donc de votre propre interprétation qui, et non de celle du BDP, ni de toute autre personne logiquement pensante. Vous n'avez chez nous posté ni message, ni idée, juste un lien menant à un message posté par vous-même sur un autre forum. Notre système est ouvert aux messages et aux débats d'idées. Il ne saurait, nous le répétons, être transformé en relai pour d'autres forums. Votre cri à la censure est d'autant plus saugrenu que nous avions, depuis le début de ce nouveau forum, mis à la disposition de tout le monde une rubrique "annonce". Cette rubrique annonce existe depuis longtemps et acceuille tout message de type "annonce". Votre affichage de lien dans une catégorie non adéquate relève donc d'une erreur de jugement qui se trouve entièrement en porte-à-faux par rapport à votre cri au scandale de censure. Si censure il y a, elle est de votre propre fait, pas du nôtre. Et si, comme vous le dites, vous ne venez que rarement sur notre forum, nous ne comprenons pas que vous veniez, lors de l'une de vos rares visites, utiliser notre système comme relai alors qu'il vous suffisait tout simplement de poster un message normal! Nous vous remercions donc de désormais respecter l'intégrité de notre forum et de ceux dans lesquels vous postez, de peur de créer des nuisances qui ne peuvent que porter atteinte aux débats d'idées que nous voulons développer sur cet instrument de communication. Agréez, cher Monsieur, nos compatriotes et d
démocratiques salutations. Equipe technique, BDP.
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Alexandre Ondo Ndong
Membre doyen
Auteur de: 55 messages sur ce forum, Evaluez ce membre |
27-mai-99, 03h43 (Heure de: New Jersey) |
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2. "En poursuivant dans le même ordre...."
En réponse au message #1
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Monsieur, En poursuivant dans la même logique de l’équipe technique du BDP, nous vous demandons d’être plus coopératif la prochaine fois. Dans une termitière, il y a des guerriers. Au BDP il en existe autant, mais dans le sens d’apporter une logique d’idée qui ne flasque la tête des gens. Les mots le plus souvent, lorsqu’ils sont utilisés de manière acerbe, ce n’est pas pour faire du bien dans les yeux de ceux qui lisent. C’est la tête qui la première empathie, le reste du corps s'enchaîne vers des terminus sans fin. Dans le jargon plastique on appelle cela un éclat d’obus de pensée dans la tête. A croire que celle-ci est une galaxie ou on subit du coup les conflits célestes. Au risque que vous receviez des mots en persifleurs, on va dire tranchant. Nous vous prions de bien vouloir respecter la démarche du BDP. Nous ne sommes pas ici pour faire les marioles, notre existence relève de l’avenir de notre pays. Nos analyses tiennent comptes des tristes réalités de notre pays, notamment des suggestions, qui n’en demeurent pas vaines. Ainsi, ce discours s’adresse autant à vous et aux autres qui veulent saboter la dimension de notre tâche. Bongo doit partir, cette épithète est une vérité aguichante. Cela résume sa somme de bêtises commise au Gabon. La suite vous l’avez dans la capitale Gabonaise. Vous devez ainsi le savoir foncièrement. Nous sommes tous Gabonais. Parmi nous, il y a des bons et des mauvais, mais celui qui s’amuse à dire des niaiseries sur ce site, trouvera des protagonistes. L’exemple de Moussavou Lucie et d’autre encore n’est pas du tout glorieux. Lorsqu’on agit de cette manière, on détruit radicalement l’esprit de dialogue. De ce fait le ridicule rejoint le rang des manques de civisme. Vous savez cher Monsieur « Med » la supériorité est-elle glorieuse lorsqu’elle a trait aux commérages. Pour la leçon du jour qui vous concerne « Une sagesse outrancière avait éloigné un « quidam » du trésor. Alexandre Ondo Ndong
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Marcel Mabongo
Membre doyen
Auteur de: 19 messages sur ce forum, Evaluez ce membre |
27-mai-99, 08h15 (Heure de: New Jersey) |
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3. "Manque de respect..."
En réponse au message #1
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J'avais en effet "lu" hier, un lien de ce type. Cela m'a un peu étonné car jamais je n'ai vu quelqu'un faire un lien sur un message posté sur un autre forum. Ce que je vois d'habitude les gens faire c'est mettre un lien vers les pages d'un site, quand la page en question apporte une information particulière. Par exemple, si quelqu'un fait un lien sur une page de l'AFP qui contient une actualité importante, cela constitue en effet une contribution positive à la pensée. Mais jamais je n'ai vu un acte aussi odieux. Si je puis me permettre une "autre" analyse psychanalitique, je dirai que ceci pose en effet un problème fondamental quant à ce que les Gabonais entendent par démocratie. Voilà par exemple un compatriote nommé "Med" qui crie au scandale alors que lui-même a commis un acte barbare. Ce que l'on perçoit ici c'est que le Monsieur s'arroge tous les droits et croit qu'il a le droit de polluer impunément un site. POurquoi? Parce que, dit le refrain, c'est la démocratie. Evidemment, on se rend compte que le Monsieur n'a rien compris à ce que c'est que la démocratie. A ce titre, il entre facilement dans la catégorie de ces gabonais qui ont subi les rudes effets du système Bongo et qui définissent la démocratie à leur manière. Pour eux, la démocratie c'est le droit de tout faire, même quand les actes posés portent atteinte à l'intégrité d'autrui. Cette culture du m'enfoutisme et de l'arbitraire que Bongo a instauré chez nous est la cause du délabrement de la pensée gabonaise. Comment alors expliquer à Bongo et à des gens comme Med que la démocratie, c'est d'abord le respect d'autrui? Depuis que je visite ce site, j'y ai vu des messages de toutes sortes et parfois des insultes. Mais jamais je n'y ai constaté de censure. La définition de la censure que Med utilise pour signifier son indignation m'échappe donc encore. En fait, sur le plan psychanalytique, on pourrait dire que le Monsieur souffre d'une forme aiguë de narcissisme. Voici les grans axes de son narcissisme: il a posté son message sur un autre site. Se rendant compte de la "beauté" de son message, il a cru bon de le faire lire par les autres. Cependant, dans son empressement, il a oublié toutes les règles de bonnes conduite en allant, non pas poster un message, mais un lien vers son message, sur le site du BDP. Evidemment, dans ce même élan, il a oublié que les administrateurs d'un site ont le droit d'effacer tout affichage qui ne correspond pas aux normes dudit site. Il a aussi oublié qu'il suffisait en fait qu'il copie son message pour le poster directement sur le forum du BDP. Cela aurait mieux contribué aux débats du forum sans mener à la "censure" dont il parle. Ainsi, voyant que son "chef-d'oeuvre" ne serait pas lu par les nombreux visiteurs du site BDP, le Monsieur a, encore une fois, perdu la tête. Il a crié à la censure, oubliant même ce que le mot censure veut dire. Ainsi, dans sa perte de tête, la censure voulait tout simplement dire ceci: "ils ont effacé mon excellent lien, les salauds!". Evidemment, quand il dit "je sais désormais à qui j'ai affaire", notre ami Med n'a pas non plus pesé les poids de ses mots. En effet, une telle déclaration est totalement vide de sens car dans le contexte de ce conflit, Med s'est révélé être un anarchiste. Il se croit tout permis dans un monde sans foi ni loi. POur lui, la liberté démocratique est synonime d'une anarchie du laisser aller, choses qui sont caractéristiques du Gabon d'aujourd'hui. En termes légaux, Med a détourné un bien à des fins autres. Etait-il en train de vouloir utiliser le site du BDP à des fins commerciales? Voulait-il utiliser le site du BDP comme panneau publicitaire pour un autre site? En tout cas, ce que son geste démontre c'est qu'il a un mépris sans faille pour le forum du BDP puisqu'il veut détourner les lecteurs de ce forum vers un autre forum. IL semble donc juger le forum du BDP indigne de son message et préfère donc en détourner le lectorat vers le forum sur lequel le "grand" Med, maître de la pensée anarchiste, poste ses grandes idées. Au passage, le Monsieur ne se rend même pas compte du caractère anarchique et inconsidéré d'une telle démarche. Mais pour lui, toute loi et toute chose doit se soumettre à l'expression de son narcissisme, un peu comme Bongo quoi. On voit donc se dévoiler un dictateur en la personne de Med. Tout doit être fait selon ses méthodes ou alors c'est la guerre ouverte. Le BDP a osé s'en prendre à son lien (même pas son message, mais son lien), donc le BDP mérite la guerre. Ce que le geste du BDP vient donc de nous permettre de voir c'est une leçon quant à la possibilité de faire voir aux Gabonais que le sens de l'ordre est important. Si une loi existe, il faut pouvoir y obéir, surtout quand une telle loi permet le bien-être du plus grand nombre. Nous, en tant que Gabonais, devons donc savoir que le respect de la propriété d'autrui est important pour la démocratie et qu'un service mis à la disposition du public ne donne pas le droit à ce public d'en abuser. L'acte de Med demeure donc un acte d'abus, de vandalisme égoïste (narcissique) qui ne lui fait pas honneur. Parce qu'il a démontré un désir de nuire au BDP en faisant passer ce mouvement pour un mouvement censurier, Med démontre ainsi ses vrais motifs qui étaient, non pas de contribuer au développement de la pensée gabonaise, mais d'agir en hooligan dans le but de ternir l'image d'un site qui essaie de promouvoir la pensée fertile au gabon. A cause de ce désir évident de nuire sans raison, Med devient le symbole d'un Gabon décadent qui se débat dans un manque de logique suicidaire, avec Bongo à sa tête, dictatorialement décidé à détruire tous ceux qui se mettent sur son chemin. A ce rythme là, nous les Gabonais avons encore des tonnes de chemin à faire. Il est temps que nous les Gabonais comprenions que démocratie ne veut pas dire anarchie. Marcel. |
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Med.
Membre doyen
Auteur de: 21 messages sur ce forum, Evaluez ce membre |
27-mai-99, 08h54 (Heure de: New Jersey) |
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4. "Révélation "
En réponse au message #3
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" On voit donc se dévoiler un dictateur en la personne de Med. Tout doit être fait selon ses méthodes ou alors c'est la guerre ouverte. " Je vous trouve vraiment bizarres.
Vu vos réactions je pense que l'on a affaire à une bande d'illuminés expatriés du ventre, qui pensent pouvoir sauver le Gabon avec le verbiage.
Nous verrons bien si tout ceci nous meneras vers une philoso-BDPchiste comme vous le défender.
Moi je ne m'inscris pas dans cette logique pseudo-réaliste. Prenons date avec l'histoire. |
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Adrien Nguema
Membre doyen
Auteur de: 105 messages sur ce forum, Evaluez ce membre |
27-mai-99, 13h02 (Heure de: New Jersey) |
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5. "Franchement!"
En réponse au message #4
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Très cher Med, devant le refus des administrateurs de ce site de vous laisser vous en servir de manière anarchique, vous avez le droit de protester en informant les lecteurs de ce site du bien fondé de votre action. Au lieu de cette démarche, à ma grande surprise vous choisissez les sentiers battus des insultes gratuites. Cela ne vous honnore nullement (mais au Gabon la notion d’honneur existe-elle encore?). Vous traitez les intervenants anti-Bongo "d’illuminés expatriés du ventre". Permettez moi de vous rappeler que l’histoire est pleine d’exemples de mouvements qui à un moment donné furent taxés de tous les adjectifs péjoratifs du monde. Ces mouvements finirent par prouver qu’ils avaient raison. Pendant longtemps, l’ANC ne fut, d’après le gouvernement blanc Sud Africain, qu’un mouvement d’illuminés marxistes égarés et de surcroit expatriés. Où en sommes nous aujourd’hui?
Pour finir, pouvez-vous m’expliquer ce qu’est un "expatrié du ventre" s’il vous plait? (lorsqu’on m’insulte, j’aime bien savoir de quoi on m’insulte exactement).
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Marcel Mabongo
Membre doyen
Auteur de: 19 messages sur ce forum, Evaluez ce membre |
27-mai-99, 13h11 (Heure de: New Jersey) |
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6. "Vous perdez les pédales, Monsieur Med!"
En réponse au message #4
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Encore une fois Monsieur Med, je crois que vous êtes en train de perdre les pédales.D'abord, à qui s'adresse votre réponse? Apparemment, dans votre réponse, vous versez même dans l'arbitraire en mélangeant les plumes et les pinceaux. Ci-dessus, il y a le messade du BDP, celui d'Alexandre Ondo et le mien. Qu'est-ce qui vous pousse à nous traiter tous comme cela de bande d'illuminés, sans faire la distinction entre qui est qui? De toute apparence, dans votre message, la seule citation qui y figure est celle de mon message. voilà pourquoi je me permets de répondre ici. Votre arbitraire est assez prononcé dans la mesure où vous mélangez forum et objectifs d'un mouvement. Moi, ici, j'ai posté sur un forum en tant qu'individu et je n'ai jamais fait partie du BDP. Je fréquente ce forum depuis très peu de temps et je l'ai trouvé intéressant à cause de la réflexion qui s'y déroule. Ce type de réflexion, on ne la retrouve sur aucun autre forum sur le Gabon. Voilà ce qui m'attire et je contribue à ma manière à ces débats. Néanmoins, n'ayant jamais adhéré au BDP, je ne vois pas pourquoi vous m'amalgamez dans votre insulte. Ou du moins, si c'est moi que vous insultez, dites le clairement sans amalgamer tout le monde. Il y a d'honnêtes gens qui postent ici qui ne sont pas su BDP ou de quoi que ce soit. Il vous a été posé ici un problème simple. celui du respect de la propriété publique. Or, vous ne semblez ni avoir le respect, ni la modestie qui se doivent. Vous vous croyez dans votre droit et maniez l'insulte et l'attaque facilement dès qu'on se met au travers de votre route. Voilà des traits de vous qui dérangent les gens biens pensants. Quand à votre allusion à la libération du gabon, vous m'amalgamez également dans cette problématique. N'ayant jamais dit que je participais à ces débats pour libérer le Gabon, je me demande d'où vous tenez cette information? Si, dans votre logique, toute personne qui vient sur ce forum est du BDP, alors ne peut-on pas dire que vous même êtes du BDP aussi? Avez-vous au moins pensé à cette hypothèse? Et si cette hypothèse est vraie, alors, cher ami, je suppose que vous vous incluez dans cette "bande d'illuminés du ventre" qui veulent libérer le Gabon? Pour la petite histoire, le verbiage et les gros discours ce n'est pas mon chef car à ce niveau vous battez tout le monde. Un seul forum ne vous suffit pas. Après être allé pondre des choses grandiloquentes dans le forum de Gabon Central, il vous fallait également le lectorat du BDP pour montrer aux jeunes comment libérer le Gabon aussi! Le pire c'est que, au lieu de le faire honnêtement, vous avez voulu détourner ce forum de ses objectifs. Pourquoi ne proposez vous pas une fusion des forums de gabon central et de ceux du BDP pendant que vous y êtes? Ainsi, si sur ce forum, nous basons tout sur le verbiage, alors vous nous battez totalement sur ce plan! La preuve c'est que j'ai lu votre message sur l'autre forum et il me semble tout aussi verbieux, et tout aussi illusoire puisque vous vous positionnez comme une sorte de faiseur de miracles pour la jeunesse. Pour ceux qui veulent lire le fameux message, j'ai été le copier sur le forum de Gabon Central (je m'en excuse d'avance) et je l'inclus ci-dessous. Dites-nous, maintenant, Monsieur Med, en quoi votre message consiste d'une philosphie qui ca résoudre les problèmes du gabon? MESSAGE DE Med. Posté sur Gabon Central.
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La jeunesse gabonaise à son mot à dire!!"
Posté par Med. le 26-05-99 à 02:47 PM (GMT 1)
Bonjour, Nos interrogations aux problèmes du Gabon ne trouvent aucune réponses, comme si les décideurs au Gabon ne parcourent pas ces forums pour comprendre que la jeunesse gabonaise pour laquelle ils sont censés agir demande de plus en plus des comptes. Les privatisations sont vécus dans certains pays comme la perte d'une souverraineté, il y existe un débat national. Est-ce le cas au Gabon ?
Pourquoi le peuple et sa jeunesse est-elle tenue à l'écart d'un processus qui joue sa destiné. Au nom d'une jeunesse dévenue mature et lucide, je reviens sur le cas de la privatisation de la
SOSUHO.
Le comité national des privatisations a-t-il eu un rôle à jouer dans cette cession ?
Dans quelle condition s'est-elle faite?
Et en quoi le Gabon en est ressortit bénéficiaire? Sans transparence économique, culturelle, et politique, la paix sociale sera aléatoire. Il faut au délà de l'instauration de la démocratie politique, révendiquer aussi la démocratie dans les affaires,l'économie, ... Il serait interessant donc que nous jeunesse, nous nous positionions pour reprendre en main notre
dévenir que nos aînés ont galvaudé. En nous réunissant par spécialité, nous pourront créer et coordonner nos aspirations vers une transparence légitime dans la conduite des Affaires du pays. Si vous souhaiter entrer en liaison avec des jeunes gabonais se formant dans la même spécialité que vous pour créer une tendance ou un esprit de cohésion par rapport à la politique du secteur, dans notre pays, vous pouvez laisser vos emails et votre discipline dans cette rubrique. La jeunesse gabonaise à son mot à dire!! FIN DU MESSAGE.
ET maintenant, Med, qui est bizarre? Vous, le BDP ou moi? Est-ce avec ce type de verbiage que vous allez mobiliser la jeunesse gabonaise et lui donner droit à la parole et autres libertés aujourd'hui compromises sous le régime Bongo?
Apprenez à vivre en communauté, mon frère. ET quand vous n'avez rien à dire, il vous mieux vous taire. C'est bon pour le cerveau. A bientôt. |
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Alexandre Ondo Ndong
Membre doyen
Auteur de: 55 messages sur ce forum, Evaluez ce membre |
29-mai-99, 05h24 (Heure de: New Jersey) |
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8. "Jalousie"
En réponse au message #7
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"Med" "Dem" "Edm"= "Med" Je viens de reprendre acte de certains détails de vos émanations psychiques. Il est posssible que je me trompe. Mais sachez du reste ceci. Au cours d'une si longue distance qui sépare les êtres humains, internet permet aujourd'hui de dialoguer avec vous ou les autres frères et soeurs du Gabon en possession de cet outil. Tout le monde au Gabon ne peut pas s'offrir le luxe de l'avoir. Mais cette situation pouvait se résoudre bien avant son apparution au Gabon. A ce sujet, les membres de la grande équipe gouvernementale d'avant étant les mêmes pour dire d'aujourd'hui, exercent une attitude d'égoïsme outrance. A tel enseigne que beaucoup ne peuvent pas être au courrant de ce qui se passe à travers le monde. Pourquoi j'évoque ce fait. D'une part, vous venez, bang!! flangg!!! sans bangage, sans arme, et vous vous mettez à vociférer comme un "pitt bull", votre haine, votre soif de la petite étoile qui veut briller. Il se trouve dans ça, que vous ignorer le cheminement qu'il faut entreprendre. Imaginer un moment,les milliers de personnes qui lisent ce site et ceux du pays qui s'y trouvent, se permettaient de lire vos propos. Tout de suite on va s'apercevoir qu'à l'intérieur de vos dires, se choquent et se suffoquent avec véhémence, des graines de haines et de jalousie. On dira à ce moment là, ce qui naît de vos idées est un sentiment d'un Homme, "je ne sais si femme ou homme vous êtes". Peu importe le genre, vous êtes dépassé. Et psychologiquement, vous ne supportez plus qu'a grand-peine les points de vue des uns et des autres. Malgré l'âge de la raison qui vous habite, votre attitude exprime non seulement la haine, mais aussi l'exaspération. On ne peut pas vous en vouloir, vous avez largement le droit d'être et de dire vos opinions. Vous êtes libre (voir article 19 des journées mondiales des droits de l'Homme). Cependant, rien ne vous laisse le droit, ni moi, ni les autres, et venant de vous, de détruire une structure qui est entrain de se développer. Le BDP n'a pas le secret de rendre le peuple heureux. Dans notre logique, nous essayons, c'est le mieux qu'on puisse dire, de porter des critiques et de donner des directives par rapport à la situation Gabonaise. Notre procédé n'est pas difficile à comprendre, je vous donne l'astuce. Elle est simple. Vous prenez deux termes, "déduction et induction". Il faut savoir que "dé" est un préfixe du latin dis. Il indique l'action ou l'état inverse de celui qui est exprimé par le terme simple. En clair, la déduction est une opération de l'esprit consistant à passer logiquement d'une observation ou d'une étape d'un résonnement à l'étape suivante. Or avec Bongo,comme disent les "femmes gabonaises", "avec Bongo aujourd'hui et demain" nous verrons le troisième millénaire. Propos chimérique, par définition il n'y a aucune action de développement donc pas d'étape à une autre étape, ci ce n'est la même chose. Lorsqu'on fait une déduction, par rapport à ce qu'il fait pour le Gabon, il n'est pas étonnant de lire nos propos, inscrit "Bongo doit partir". Avec lui il n'y a pas d'avenir. Avec lui le troisième millénaire sera une période de guerre. Par induction, c'est quasiment le même procédé. Le résonnement se fait du particulier au général. Nous tenons compte dans ce cas des causes pour lesquelles notre pays souffre. La cause n'est pas loin, on ne vas pas la chercher le jour avec des torches, alors que c'est "Bongo". Cette manière de procéder, permet de partir d'un résonnement, allant de la cause à la conséquence ou inversement. Avec cette technique d'approche, vous pouvez retenir plusieurs aspects qui donnent lieu à des conclusion, telle que "BONGO DOIT PARTIR APRES 31 ANS DE PILLAGE". Si vous procedez de la sorte en nous attaquant avec des conclusions vraisemblables,l'équipe et moi pourront enfin dire que vous avez trouvé le couloir de la raison. Tant vous n'aurez pas saisi le sens de l'analyse déductive, inductive, vos propos auront sans doute du sens, mais non sur ce site. Melen n'est pas loin pour s'y rendre, il faut prnedre un taxi. Sinon c'est la jalousie qui anime votre "moi intime" incompatible "au moi social". Alexandre Ondo Ndong |
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Alexandre Ondo Nong
Membre doyen
Auteur de: 1 messages sur ce forum, Evaluez ce membre |
31-mai-99, 04h45 (Heure de: New Jersey) |
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10. "Acte 1"
En réponse au message #8
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Avant l'acte, il faut de la réflexion. Elle entraîne inévitablement à la méditation. De celle ci apparaît l’application. Nous sommes dans cette logique pour l’instant. Et c’est grâce à cet aspect que nous persévérons. Rien ne peut s’opposer à la vérité. Face aux problèmes du Gabon, tous les membres du BDP veulent ainsi mettre en pratique une politique qui serait capable de structurer notre pays vers une dynamique du développement. Notre approche se situe à l’image d’un traitement qui se fait au laboratoire. Notre pays est malade, ceux qui habitent sont imprégné d’une maladie, nommée « mauvaise volonté ». Personne ne veut plus faire des efforts. Le climat est pollué par le système Bongo. Au lieu de laisser cette gangrène bouffer le pays, notre laboratoire essaye de trouver le médicament adéquat pour soigner toute la population. Tout le monde est contaminé, du plus petit au plus grand jusqu’aux anciens. Avant de se lancer dans cette partie du continent, notre approche est de regarder par le concept de la pensée spatiale. La méthode ici se rapproche à celle d’un satellite. C’est dire qu’on voit le Gabon comme un bébé dans le ventre de sa mère. A partir de là, nous posons des actes, voir dans quelle mesure les médicaments peuvent guérir tout le monde. Tout acte qui se concrétise sans réflexion, est semblable à Bongo, qui a voulu développer le pays sans une étude de projet. Mettre en place une étude, c'est poser des actes de réflexions avant la matérialisation d'un fait. Celui qui construit sa maison très vite, ne doit pas s'étonner de celle-ci, lorsque la toiture s'enlève par la force du vent.
Par définition, il faut d'abord réfléchir avant d'agir, c'est en réfléchissant sur un principe qu’on arrive à connaître les bases sur lesquelles on peut bâtir un projet, quelques soit les actes.
Toute parole est souffle de vie et la vie un acte en perpétuation. Si vous avez bien étudier votre maxime, vous aurriez compri qu’il ne valait pas la peine de l’introduire ici. Puisqu’on existe, on est déjà des actes, en d’autre termes, nous somes acteurs de nos propres actes. Avez-vous commis un acte manqué.? Que la parole sorte de votre bouche de manière cuite. Alexandre Ondo Ndong
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