Je viens de prendre connaissance de l'existence de ce forum de discussion sur le Gabon.Nous disposons maintenant d'une tribune sur le web pour engager des réfléxions critiques et aussi pour construire un modèle d'avenir pour le Gabon.
Je réagis à chaud sur les deux derniers message qui me sont parvenus.
Je m'intéresse beaucoup à quelques aspects des messages qui ont été envoyés sans pour autant les analyser dans leur totalité. D'abord la véracité des informations que l'on trouve sur le forum n'est pas garantie comme une lettre à la poste.Nous participants, devont exercer notre esprit critique.Nous savons bien que nos frères qui écrivent ne sont ni des professionnels de l'informations ni des enquêteurs.
Ils glanent ça et là des informations parfois subjectives, parfois issues de leurs ressentis personnels.
Es-ce l'information vraie comme le dit un compatriote j'ose le croire? L'information qu'ils nous donnent comme la télé ou la radio ne sont que des éléments qui doivent passer au filtre de notre esprit critique.
J'apporte cependant mon soutien à tous ceux, qui comme les auteurs des messages alimentent le forum.Sans eux point d'informations même partielles.
Pour en arriver au message sur le médecin après la mort, nous concevons trés bien que la responsabilité de la France, dans le conflit congolais et sa résolution est établit. Il n'en demeure pas moins que le Congo doit se reconstruire.Avec qui et comment ? là demeure le noeud du problème.
La France qui envoie de l'aide que nous pouvons considéré comme humanitaire, soulage un temps soit peu les souffrances des nos frères du Congo.
Savons nous comment ses frères font pour survivre dans cette situation de pénurie où ils se trouvent.Certains se sont même vu obliger de "survivre" dans la forêt équatoriale.
Il est évident que cette goutte d'eau à elle seule ne peut soulager les souffrances du peuple congolais. Un élan de solidarité africaine peut se manifester par des collectes de dons de toute nature.
Il est entendu que le problème demeure tout d'abord politique. Seule une solution politique négogiée peut mettre fin au conflit.
Engageons nous pour des actions à l'échelle du citoyen,c'est à dire individuelles puis collectives pour faire monter la "pâte de la paix".
Trop de haine , trop de procès et de discours accusateurs ne font que compliquer le dilemme.Où se trouvent les "peacemakers"?
L'Afrique du Sud nous donne un bon exemple(bien que tous ne soit pas encore rose pour les noirs)à suivre.
L'afrique a besion d'Unité.