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Pierre Akendengu�: "R�utiliser la tradition en essayant de lui rester fid�le"
Auteur:  Patrick Labesse  | Date: 2 Avril 2005  | R�actions (3)
Section: Loisirs/Divertissement  | Source: Le Monde

Pierre Akendengu�:� chanteur Le musicien gabonais sort un 14e album et se produit au Bataclan, � Paris.

Il Sort un nouvel album, Ekunda-Sah, le quatorzi�me d'un parcours commenc� en 1967 au Petit Conservatoire de Mireille. Chanteur-philosophe, musicien-conteur, il croise la luxuriance des rythmes et des voix de la for�t �quatoriale d'Afrique centrale avec la chanson fran�aise. Apr�s vingt ans en France, il est retourn� au Gabon en 1985 o� il est devenu conseiller culturel du pr�sident Bongo. Il se produit le 4 avril au Bataclan, � Paris.

Vos chansons, en langue my�n� et en fran�ais, ont des allures de conte. quel est le sens de ce parti pris dans votre �criture ?

Le conte, c'est un h�ritage de la soci�t� ancestrale. Je reste fid�le � cette civilisation de l'oralit�. Au-del�, c'est aussi pour moi une mani�re d'exprimer ce que j'ai sur le coeur. L'art doit �tre un ferment de contestation dans une soci�t�, pour lui �viter de se scl�roser. Le conte offre cette possibilit� ; il dit une chose et en signifie une autre. Quand j'�tais �tudiant, j'ai �t� interdit d'antenne et de s�jour chez moi. Les choses ont �volu�. La preuve : j'ai accept� le poste de conseiller culturel. Notre culture, bien plus que le fer ou le mangan�se, est la premi�re richesse de notre pays et devrait �tre plus valoris�e. Mais les politiques pensent qu'il y a d'autres priorit�s. Un conseiller n'est pas un d�cideur. Je donne des avis. Quant � ce qu'ils deviennent apr�s...

Panafricain convaincu, vous n'avez jamais �t� gagn� par le d�couragement ?

J'y crois de plus en plus. Pour se construire une ind�pendance politique et �conomique, l'Afrique doit n�cessairement faire unit�. Ce r�ve n'est pas du tout utopique. Il a donn� naissance � l'Organisation de l'unit� africaine (OUA), qui a resurgi sous la forme de l'Union africaine. Celle-ci est d'ailleurs bien plus efficace que ne l'�tait l'OUA. Elle s'implique davantage dans les conflits africains, par exemple en C�te d'Ivoire ou au Togo.

Vous �tes per�u comme un pionnier de la musique africaine en france. assumez-vous cette pr�sentation ?

Cela me g�ne un peu. En r�alit�, je me suis inspir� d'autres, moi aussi. D'abord de mon peuple, dont je n'ai fait que r��crire la tradition, en essayant de lui rester fid�le. Mon premier 45-tours, Le Chant du coupeur d'okoum�, au d�but des ann�es 1970, je l'ai produit � compte d'auteur, car les maisons de disques n'avaient de faveur � l'�poque que pour les artistes qui faisaient danser. Mes chansons, "d'inspiration philosophico-religieuses", ne les int�ressaient pas. Ce disque est tomb� entre les mains de Pierre Barouh -cr�ateur du label Saravah-.

Il a sorti mon premier album, Nandipo, en 1974. Ce sont des gens comme lui qui sont les pionniers. Ou bien d'autres chanteurs, tels que le Congolais Franklin Boukaka, assassin� en 1972, qui avait chant� avant moi Les Immortels, ceux qui ont cru en la lib�ration de l'homme et en particulier des peuples sous le joug colonial.

Ekunda-Sah, 1 CD Taxi Records/ Codaex. Concert le 4 avril au Bataclan, 50, bd Voltaire, Paris-11e. M� Oberkampf. T�l. : 01-43-14-35-35. 29,50 �.

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